Eugène Durif, lundi 24 juillet

Une terrible bouffée d’absence quand tu n’es plus là
Un terrible sentiment d’absence à moi-même quand tu n’es plus là

Hôpital silence, quand j’étais enfant cela contribuait à ma peur de l’hôpital

Cris d’une vieille femme (toujours la même) en passant devant l’Ephad
Comme une mélopée
Je n’ai rien d’un reporter sur le front de la souffrance
Je suis tombé dans les pommes hier soir à l’évocation d’un embaumement raconté par Daniel

le chemin des amoureux, derrière l’hôpital, un hérisson traverse la route

(un gros rat tout près de l’école d’infirmières)

 

 

 

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