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Eugène Durif, lundi 24 juillet Une terrible bouffée d’absence quand tu n’es plus là Hôpital silence, quand j’étais enfant cela contribuait à ma peur de l’hôpital Cris d’une vieille femme (toujours la même) en passant devant l’Ephad le chemin des amoureux, derrière l’hôpital, un hérisson traverse la route (un gros rat tout près de l’école d’infirmières)
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Jour après jour, les autres textes d'Eugène Durif
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